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Atelier peinture LST Namur - Activités annuelles

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Retrouvez ici quelques traces d'une partie des activités écoulées de l'Atelier peinture à Namur. Bonne découverte !

 

 

Ça s'est passé en…
2022 2021 2020 2019 2018 2017 2016 2015 2014 2013 2012 2011 2010 2009 2008 2006 2005 2004 2003 2001

2022

 

2021

Une reprise en douceur

Mai, juin 2021

Une reprise en douceur et couleur pour se retrouver.

Or, empreinte et signe : atelier art plastique

D’aout à novembre
Durant cet atelier, les participants ont été confrontés à la question de l’utilisation de l’or dans l’art. En effet, le collectif Patrimoine à roulettes nous a contactés car il voulait réaliser avec notre collaboration « L’empreinte de l’ange », une œuvre monumentale réalisée à la feuille d’or sur un pignon qui surplombe la Place de l’ange.  Cette fresque, il voulait la réaliser pour interroger des questions de mémoire et d’oubli, de richesse et de précarité, de silence et de transparence. nous nous sommes dit que malgré le choc symbolique de l’or cette prise de parole à travers cette fresque nous concerne en premier.

En découvrant les photos de Sebastao Salgado dans la Serra Pelada au Brésil, nous avons découvert que l’or symbole de richesse et de pouvoir est arraché à la terre par des travailleurs parmi les plus pauvres et cela au péril de leur vie.
Alors à qui appartient cet or ? Si ce n’est à la terre et donc à l’humanité tout entière qui devrait pouvoir partager ces richesses de manière équitable, permettant à chaque être humain de vivre dignement.
En résonnance à « l’empreinte de l’ange », nous avons décidé de poursuivre le projet à notre façon et d’installer de façon pérenne un parcours dans Namur : « Empreinte dans la ville », un parcours sur la trace de la vie et des combats des plus pauvres. Nous réalisons donc des recherches pour pour créer un logo symbolique pour ce parcours.

Sténopé

De novembre 2021 à janvier 2022
Par cette technique, les participants sont allés prendre des photos des lieux où ils ont vécu des temps importants dans leur vie et dans leurs combats contre ce qui les enferme dans la pauvreté.
Cet atelier a permis aux participants de découvrir les principes de base de la photographie et de les expérimenter.
Création de boite noire pour réaliser le sténopé.
Préparation des papiers et des boites en chambre noire.
Prise de vue sur place et temps de pause en fonction de la luminosité.
Développement en chambre noire. Surprise de la découverte et des résultats aléatoires et surprenants

2020

En vie-envie

De septembre à décembre

Nous avons décidé d’approfondir le travail de la peinture et de la recherche de l’écriture propre à chacun. Mais aussi d’y ajouter la dimension d’émotion, de sentiments, et de sensations par le geste, la forme, la couleur, le trait. Pour commencer nous sélectionnons divers livres d’art, BD, albums jeunesse, et demandons aux participants de choisir une page qui « met en scène » une émotion. Chacun présente aux autres cette page sélectionnée et explique l’émotion que cela éveille en lui. Nous débattons alors pour comprendre ensemble quel élément de l’image permet de faire passer cette émotion : traitement de la couleur ? de la forme ? la mise en page ? le geste du dessinateur ? la gestion de l’espace ? par quel moyen l’artiste permet-il ce ressenti ? Ensuite c’est à chacun de jouer ! Chaque participant est invité à se connecter avec son humeur du jour ou du moment et d’essayer de l’exprimer artistiquement en réfléchissant à l’impact de ses choix : quelles techniques ? peinture ? sculpture ? dessin ? quels gestes ?

De ma fenêtre, je vois…

D’avril à juillet 2020
La crise covid a complètement chamboulé la vie du CEC. Notre priorité constante durant cette crise a été de garder contact avec nos participants. Surtout ceux qu’on savait seuls et très fragiles. Nous avons donc multiplié les contacts téléphoniques, rencontres devant leurs portes, rendez-vous dans un parc, sur un banc. Toutefois, des ateliers se sont faits à distance : Lors du premier confinement, nous avons proposé aux participants des ateliers de réaliser des dessins, textes, photos « de ma fenêtre, je vois… ». Pour que cela soit possible, nous avons apporté du matériel de dessin à plusieurs participants.

 

Itinérance

D’octobre 2019 à mars 2020, c’est la marche qui nous a mobilisé.

Marcher pour aller où ? Pour faire quoi ? partir ou rester ? marcher ou ne pas marcher ? Se
promener ou manifester ?
Qui dit marche dit chaussure.
Un objet à investir, démonter, détourner…
Avec nos partenaires dans ce projet, CEC LST Andenne, CEC terre franche, ateliers de l’hôpital
du Beau-Vallon et clos copain, nous nous sommes retrouvés au cinéma Caméo autour du film
« La marche » de Nabil ben Yadir.
Puis nous avons échangés de vieilles godasses qui sont devenus lieu d’expérimentation, puis
support d’expression.

2019

Le carrousel de la vie


Dans les fêtes foraines, ça bouge, ça remue, ça brille…
Poursuivant nos réflexions sur ce thème, nous relevons un défi : réaliser des objets qui expriment nos réalités, nos luttes mais avec des objets en 3 dimensions et qui bougeront !
Beaucoup de recherches, d’essais et d’erreurs, beaucoup de rires, de coup de mains, et de soutien du groupe permettront d’arriver fièrement et tous ensemble à nos fins.
Et pour couronner le tout, nous réalisons un grand vitrail collectif éphémère, au départ d’une peinture de Véronique (qui elle-même s’était laissée inspirée par le peintre Delaunay).

Dedans-dehors

Projet lancé et coordonné par la FPCEC, Esperluette invite tous les CEC qui le désirent à se rencontrer autour de questions sur le dedans et le dehors.
Qui suis-je ? Qui sommes-nous ? Quels sont mes/nos espoirs ?
C’est autour de ces questions que les participants de l’atelier peinture et l’atelier le fil ont créé un grand puzzle dans les couleurs vert, rouge et blanc.

 

 

 

 

 

 

 

 

2018

Sur le fil

Etre sur le fil c’est :
Etre en équilibre, déséquilibre…
Juste à la frontière de ce qui est autorisé, accepté.
Etre toujours à la limite pour résister à la misère.
Trouver des solutions différentes pour survivre…

 

Chiner, glaner, récupérer…
Avoir honte, vouloir se cacher.
Se prendre les pieds dedans puis se relever.
Se serrer les coudes, y croire ensemble, se révolter.
Oser dire, prendre la parole, manifester…
Créer, peindre, tisser…
Tisser des liens de solidarités, des jours meilleurs.

Les couleurs de Fernand

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

En mai 2018, nous découvrons à Bruxelles l’exposition « le beau est partout » rétrospective Fernand Léger. Nous sommes impressionnés par son traitement des couleurs, par l’optimisme qui se dégage de son travail. Il nous communique sa fascination pour le cirque et pour les arts du spectacle.
A notre tour, nous jouons avec les couleurs et nous nous interrogeant sur cette phrase « le beau est partout ».

La fête foraine

Certains d’entre nous se souviennent y être allés quand ils étaient enfants. D’autres n’y ont jamais été. C’était trop cher.
A travers des livres sur le sujet mais aussi par la découverte du festival du cirque à Namur et par la visite du fabuleux musée de la fête foraine à Saint Ghislain, nous découvrons l’importance de la fête foraine comme vecteur culturel dans les villes et villages d’autrefois.

Mais aussi de fabuleux manèges d’antan, des orgues de barbarie, un théâtre de puces, un entresort d’exposition de monstruosités…

Toutes ces découvertes nourrissent nos projets et permettent d’affiner nos questionnements.

 

 

 

 

 

 

 

 

2017

 A la croisée des chemins

Sur les chemins de la vie, certaines personnes se réservent les autoroutes. Les autres, et les plus pauvres en particulier, doivent emprunter les chemins de traverses et faire preuve de créativité pour garder le cap.
Nous réalisons des « potales », sorte de petites chapelles en forme de tryptique qui , déposées contre un mur, sur un poteau, à la croisée d’un chemin, symbolise un temps d’arrêt, de réflexion sur le chemin emprunté.

 

Ce projet s’est fait en collaboration avec l’atelier « le fil » de notre CEC, le CEC Terre franche et l’atelier Zone libre du CPAS d’Eghezée.

Les glaneuses

En 1857, Jean François Millet peint les glaneuses.
« Ces glaneuses sont vraiment proches de nous.  Il faut beaucoup de courage pour survivre. Parfois, on se cache, on a honte. »
Peindre permet de jouer avec les couleurs pour réaliser quelque chose qu’on aime, mais aussi de s’exprimer, d’interpeller parfois par l’humour ou de dénoncer des injustices.

 

2016

Tout par(t) de là.

S’exprimer à partir de carrelage blanc 15X15.
C’était la consigne ! Et on l’a relevée sans aucun souci.
Ces carrelages on les a cassés pour faire de la mosaïque.

On les a aussi emmenés partout : chez nous, en rue, en voyage pour les photographier et les confronter à nos vies, à des réalités qu’on croise chaque jour et qui nous choquent ou à d’autres qu’on aime.

Ces photos, après les avoir triées, choisies, recadrées, puis imprimées en format 15X15, on les a échangées avec les photos réalisées par les participants de l’atelier le fil et celles des ados du CEC Terrefranche.

Alors on les a réinterprété avec de l’encre de chine, du fusain, du collage.

 

Et puis, on a aussi réalisé une peinture collective sur un grand Taquin… en carrelage évidemment.

Tous ces travaux ont été exposés à Bressoux le 1er juin et à la maison de la culture de Namur le 11 juin.

Résister

Après une visite de l’exposition Chagall où nous avons découvert ses lithographies, nous avons également travaillé une technique d’impression : le monotype.
Nous avons réalisé des dizaines, mettant en scène des gens qui comme nous vivent la misère mais qui résistent.

  

Ensuite, ils ont été exposé en un mur de papier dans les rues de Namur lors du parcours papiers et de la journée mondiale de la misère- 17 octobre.
Puis cette fois à partir des photos de nos rassemblements au 17 octobre, nous avons encore travaillé le monotype et aussi avec du broux de noix pour réaliser un grand … collectif


« C'est un voyage. C'est une famille. La mer est bleue, est calme, est grande. Ils sont partis. » Myriam

« Etes-vous prêt à avaler n'importe quoi ? Attention, la consommation est une histoire qui n'a ni queue ni tête. » Roland

2015

« Jardin secret »…

Nous travaillons sur le thème du jardin secret, en collaboration avec le CEC Terre Franche, le CEC Courant d'Air et l'atelier "Trait en liberté" (du CPAS d'Eghezée).

Dans une première phase, nous travaillons à partir de cages que nous transformons en sorte d'animaux ou de plantes qui se protègent afin d'y cacher un secret.

Puis nous confions ces cages au groupe d'Eghezée pour qu'ils y déposent leurs histoires secrètes. Nous recevons alors les caisses en mosaïque qu'ils ont réalisées. Nous aussi y cachons des bouts de nos histoires par collage, dessin, travail de photos et installation d'objets.

Ensemble, nous installons les cages et boites dans un jardin, lors du « Village aux artistes à Waret-la-Chaussée » les 15, 16 et 17 mai 2015.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

2014

Il Quarto Stato
Nos luttes en marche !

En lien avec d’autres ateliers du Mouvement.

Découverte

Chaque participant est invité à venir au premier atelier en apportant soit une chanson, une photo, la reproduction d'une peinture, un texte… qui pour lui apporte une réponse à une des questions du thème de travail.

Lors du premier atelier, nous écoutons les textes, les chansons et durant l'écoute chacun dessine les images que cela lui évoque.

Ensemble, nous découvrons la peinture « Il Quarto Stato », le contexte historique et social qui a poussé le peintre à la réaliser en 1901 et également l'histoire qui a donné ce titre à cette peinture. (Les cahiers du quatrième ordre à la Révolution française).

Expression & création

Ensemble, nous choisissons 5 thèmes de travail, issu de nos textes et chansons, à représenter sur 5 personnages de la peinture « Il Quarto Stato ».

Par groupe, on recherche sur une même grande feuille, par le collage ou le dessin, des symboles, des dessins, des couleurs, des mots pour exprimer chaque thème. Puis retour vers le collectif pour vérifier si ce qu'on fait est compréhensible par d'autres et pour confronter les idées, en faire jaillir de nouvelles.

Ensuite vient le travail de la peinture, du collage, du dessin, avec toujours des va et vient entre le travail individuel et le collectif favorisant à la fois la possibilité pour chacun de trouver sa place et les moments de collaboration.

 

Et enfin le travail en peinture de la toile de fond sur laquelle viendront se fixer les personnages avec un souci de donner du relief (travail des ombres portées).

Diffusion

La peinture collective, Il Quarto Stato en 2014, a été exposée une première fois du 16 au 23 octobre 2014 sur les grilles du parc d'Harscamp (ancien CPAS) au centre de Namur, avec inauguration en présence de Monsieur Paul MAGNETTE et Madame Eliane TILLIEUX.

Exposition les 10 et 11 décembre 2014, à l'occasion de la Journée des droits de l'homme dans le patio de l'hôtel de ville en collaboration avec Amnesty et présentation aux membres du conseil communal.

Francine nous dit :

« L'inauguration, c'était un moment important. Ca me rappelait mon enfance, mon histoire au travers de toutes les phrases qui ont été dites. J'avais les larmes aux yeux quand on a montré la peinture, je me voyais dedans, derrière chaque personnage. C'est notre histoire. »

2013

Mémoire...

Autour de nous, chez nous, des objets nous accompagnent. On les garde, on les collectionne, parce qu'ils nous rappellent des moments vécus. Nous avons travaillé sur des objets ainsi collectés autour du thème : Mémoire.

Ces objets que disent-ils de nous ? De ce que nous avons vécu autrefois ?
Comment les retravaillé pour qu'ils parlent de nos vies ?

Nous les avons transformés, peints, tordus, changés complètement pour réaliser des installations qui ont été présentées au Village aux artistes à Longchamps, les 10, 11, 12 mai 2013.

  

2012

« C'était le temps des cerises,
en ce temps de crises,
si on se soulève,
on fera la grève.

C'était Noël,
c'était la grève,
la ville s'était arrêtée.

Seul à la gare,
j'attendais Ève
mais elle n'est jamais arrivée.

Tout seul sans elle,
j'avais un rêve,
la serrer très fort dans mes bras,
je prend mon sac et je me lève
pouce en l'air, quelqu'un me prendra.

Ce soir, je serais à Valence,
à nous la fête, à nous la danse,
je lui offrirais des camélias,
ce sera comme des romans.
Elle me présentera ses enfants,
et tout ensemble on chantera,
« Ah, le beau Noël que voilà ».
- Texte collectif

« Un voyage d'hiver » : projet d'écriture

Nous avions envie d'emmener dans un projet créatif les personnes qui viennent aux permanences de LST et non aux ateliers créatifs. Nous avons alors tenté un atelier d'écriture qui s'est tenu tout les 15 jours pendant 6 mois.

L'animateur, Frédéric Ruymen, proposait des jeux, des exercices individuels ou collectifs.
Ainsi, petit à petit, une collection de textes parfois drôles, parfois émouvants, s'est constituée.

Mis bout à bout, ils forment un recueil nommé « Un voyage d'hiver », qui reflète la richesse des échanges vécus lors de ce projet.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Autour d'un radiateur

Dans notre local trône un radiateur peu commun. Imposant, gros, vieux, il contient une petite armoire et continue à nous chauffer en hiver. D 'ou vient-il ? A quoi servait cette armoire ?

Il n'en faut pas plus pour lancer les participants de notre atelier et donner lieu à des productions surprenantes qui interrogent l'habitat, le besoin de sécurité pour nos enfants ou le manque de justice sociale.

  

2011

Des milliards d'Autres

Nous sommes allés visiter l'exposition « 6 milliards d'Autres » de Yann Arthus-Bertrand (www.6milliardsdautres.org).

A travers les photos et les vidéos, nous avons découvert d'autres manières de vivre, de penser, de s'habiller, d'habiter. Et nous sommes revenus touchés par tant d'humanités et tant de ressemblances dans ce qui est fondamental pour les hommes et les femmes de la Terre.

Alors, ensuite, nous avons travaillé le portrait suivant plusieurs techniques pour continuer à rencontrer d'autres hommes et femmes qui nous touchent... et aussi nous-même.

2010

Se rassembler…

Se rassembler, voilà une constante dans nos projets. Mais comment le représenter en peinture ?
Et comment d'autres peintres ont-ils représenté cela ?

Chacun choisit une peinture connue ou moins connue qu'il aime et travaille à partir de cette peinture pour exprimer en quoi le rassemblement est important pout lui.
Les participants en concluent que le cercle est l'image qui symbolise le mieux le rassemblement.

Ensuite, nous participons au projet « Carrément ensemble » lancé à tous les secteurs du mouvement LST. Nous exposons lors de la Journée Mondiale du Refus de la Misère, sur la place du Théâtre à Namur.

'Chambres avec vues', parcours artistique

Découverte de quelques fruits du travail de jeunes et adultes qui se rassemblent au groupe des jeunes et à l'atelier créatif de LST.

Ceci dans le cadre du Parcours d'artistes "Chambres avec vues", une initiative de la Ville de Namur qui rassemble plus de 200 artistes.

2009

Passages et transmission

Passages et transmission est un thème de travail proposé dans le secteur CEC, mais ce qui nous intéresse depuis toujours à LST c'est « le passage des savoirs ». Nous avons travaillé cela en plusieurs temps.

D'abord en s'interrogeant sur :
Ce que je sais, qui me l'a appris ?
Comment l'ai-je appris ?
Comment faire pour le transmettre à d'autres ?
Et pour mettre tout cela en chantier, chacun a appris aux autres membres du groupe une technique qu'il maitrise.

Ensuite toutes ces techniques et ces moments d'échanges ont été consignés dans un carnet de bord collectif baptisé « Ca fait boule de neige ».

Enfin nous avons fait un échange avec le CEC Plume et Pinceau de Amay.
Ils ont reçu notre carnet et nous ont envoyé 8 carnets réalisés dans leurs ateliers sur le thème passage et transmission. Nous y avons trouvé inspiration et renvoyé en réponse un autre regard sous la forme d'un carnet collectif.


Exposition "Fugues"

atelier créatif à NamurEnfants, jeunes et adultes : nous exposons nos photos, livres, peintures, statues, collages, film, objets détournés…

Mille manières de parler de notre vie, de dire nos espoirs. L'exposition « Fugues » a rassemblé un public nombreux autour d'oeuvres réalisées par les participants aux activités de quatre Centre d'Expressions et de Créativité en milieu populaire (LST Namur, LST Andenne, ATD Quart-Monde et Le Pivot).

 

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2007

L'arbre m'a dit

L'arbre m'a dit : Des arbres et nous... Une exploration par diverses techniques pendant plus de 3 ans.

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2003

Ferme les yeux... Imagine...

Publication « Ferme les yeux... Imagine... »

Réalisations : remarques complémentaires

Les réalisations dont il est question ici mettent davantage en évidence ce qui peut ou a pu être montré à d'autres. Par exemple : des publications (textes, livres, périodiques), des expositions ou autres créations artistiques (peintures, photos, pièces de théâtres,...).

LST est un mouvement d'éducation permanente, de rassemblement, d'expression et de créativité enraciné dans la réalité des hommes et des femmes parmi les plus pauvres, les plus écrasés. Ces types de réalisations sont donc d'abord des moyens pour soutenir nos objectifs de lutte contre la misère et ce qui la produit.

Les prises de conscience et les changements de mentalités, voire les avancées au niveau politique, sont aussi des "réalisations" que nous travaillons.

Par ailleurs, pour nombre de personnes, leur cheminement avec LST leur a permis "d'être un peu plus, d'être un peu mieux", comme nous l'indiquent certains témoignages ainsi que les participations régulières de nombreux aux activités qui nous rassemblent, malgré la division que suscite la misère.

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dernière mise à jour le 2 août 2019