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mai 2024 |
CEC LST
Empreintes dans la ville S'expose au Delta
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Avril 2024 |
LST participe
La semaine du droit au logement est terminée, le combat pour ce droit continue
Le droit fondamental à l'accès à un logement décent pour tous est mis à mal dans la vie des plus pauvres : qu'il s'agisse d'expulsions, d'insalubrité, de fermeture de campings, de vivre dans la rue, de mauvaises relations avec un propriétaire, de loyers trop chers…les plus pauvres en payent le prix !
Une circulaire ministérielle de juillet 2023 (adressée aux CPAS et aux administrations communales) veut imposer une limitation du nombre et de la durée des adresses de référence, tant au CPAS que chez des particuliers. Une "domiciliation d'office" telle qu'elle est prévue chez les particuliers hébergeurs de l'adresse de réferénce et la personne ou famille en accueil, créera de nombreux problèmes.
- Nous revendiquons la possibilité de garder une adresse de référence au CPAS. Nous savons tous que le fait de ne plus avoir d'adresse officielle produit souvent de graves conséquences.
- Nous insistons également sur l’importance de développer une politique pour du logement accessible à tous. L'austérité et les contrôles imposés par l’Europe impactent sur le peu de logements sociaux construits alors que le besoin est criant.
- Trop de moyens financiers sont mis dans des dépenses parfois inutiles et souvent de prestige. Il suffit de voir dans nos quartiers, avec la construction de bâtiments luxueux et coûteux, on organise la spéculation. Des habitations sont inoccupées, des familles doivent partir. Des logements qui ne nous seront plus accessibles prennent place.
Le Mouvement LST et d’autres associations portent un recours au conseil d’état contre cette circulaire. |
18 avril 2024 |
LST et ATD vous invite
« Les copains d’en bas »
Les mouvements LST et ATD vous présenteront une pièce de théâtre sur les thèmes du logement, de la solidarité, de l'avenir quand on vit avec peu de moyens : "Les copains d'en bas". Un spectacle né de quelques années de vie dans une cité, de rencontres, de partages...
L’histoire : Ben et Charlotte, la trentaine, ont décidé d'aller habiter dans une cité HLM, pour vivre la fameuse « mixité sociale ». On les suit dans leurs rencontres.
Une date à retenir : le jeudi 18 avril 2024 à 19h au Cinex à Namur.
Bienvenue à toutes et tous !
Pour plus d'infos, contactez-nous !
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16-17 et 23-24 mars 2024 |
Le CEC de LST Namur participe
Parcours d'Artistes
Le CEC de LST Namur participe au Parcours d'Artiste 2024 de la Ville de Namur (Chambres avec vues) au Centre culturel de Bomel (Anciens Abattoirs) avec le Collectif Pas à Part.
N'hésitez pas à venir nous voir pour découvrir, partager, échanger au sujet de notre travail les week-ends du 16,17 et 23,24 mars 2024.
Au plaisir de vous y rencontrer !
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Mars 2024 |
Les adresses de référence au CPAS menacées
Dans le prolongement des N°408 (Janvier 24), 409 (Février 24) et 410 (Mars 24) du journal « La main dans la main » concernant la législation des adresses de référence, nous tenons à partager cette actualité.
Nous savons tous que le fait de ne plus avoir d'adresse officielle produit souvent de graves conséquences. Cela peut entraîner la perte des revenus pour de nombreux allocataires sociaux, de la pension de vieillesse, du chômage, d’une allocation de mutuelle, d’une allocation de handicap... Ou encore, l'impossibilité d'inscrire les enfants dans une école, d'ouvrir ou accéder à un compte bancaire si la carte d’accès est perdue, de réaliser un contrat tel qu'un bail locatif... Si la carte d'identité est perdue, cela amplifie encore les difficultés, car une simple attestation de perte ne suffit pas pour réaliser un grand nombre de démarches courantes.
Une circulaire ministérielle de Juillet 2023, adressée aux CPAS et aux administrations communales, veut imposer une limitation des adresses de référence, tant au CPAS que chez des particuliers. L'objectif est de réaliser une domiciliation d'office dans le lieu (logement, garage, chez une personne solidaire…) où la personne a une adresse de référence ou réside habituellement avec une adresse de référence au CPAS. Une telle décision ne prend absolument pas en compte les effets négatifs en cascade que de telles pratiques de domiciliation d'office vont produire. De plus, la diminution du nombre de personnes répertoriées en adresse de référence dans un registre de la population permet de "masquer" l'ampleur du problème des personnes et familles qui sont sans "leur" toit.
Avec diverses organisations, nous allons porter un recours au Conseil d'Etat pour la suppression de cette circulaire aux effets désastreuxpour de nombreuses personnes fortement précarisées.
A suivre. |
Du 30 mars au 7 avril 2024 |
LST participe
La semaine du droit au logement
Lors de cette semaine de mobilisation du 30 mars au 7 avril 2024, nous rappellerons l’importance d’un logement décent pour tous
Le droit fondamental à l'accès à un logement décent pour tous est mis à mal dans la vie des plus pauvres : qu'il s'agisse d'expulsions, d'insalubrité, de fermeture de campings, de vivre dans la rue, de mauvaises relations avec un propriétaire, de loyers trop chers…les plus pauvres en payent le prix.
Cette année, nous insistons aussi sur la nécessité de garder un accès à une adresse de référence au CPAS, ainsi que sur l’importance de développer une politique du logement accessible à tous.
« Le droit des personnes et des familles à bénéficier d'un logement décent doit se comprendre dans le cadre de l'indivisibilité des droits de l'homme. Un seul droit -ou le non-respect de ce droit- a des répercussions sur tous les autres : la santé, le droit à vivre en famille, le droit des enfants à prétendre à une scolarité normale, le droit à la dignité, à être reconnus comme citoyens comme les autres. » Extrait du Rapport Général sur la pauvreté, 1994
Nous interpellerons par nos témoignages et revendications.
Nous manifesterons à Namur, le 6 avril, aux côtés des citoyens et des autres associations namuroises.
Et le 18 avril, au Cinex, nous échangerons avec vous, après la présentation de la pièce « les copains d’en bas », de la compagnie Magnolia-Azur.
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26 février 2024 |
Aide à la Jeunesse ?
Le 26 février 2024, nous avons rencontré un membre du cabinet de Madame Bertieaux, ministre de l’Aide à la Jeunesse.
Nous avions pris connaissance de projets de modifications portés au Décret de l’Aide à la Jeunesse de 2018.
Trois points ont attiré particulièrement notre attention :
- la suppression du renouvellement annuel des décisions prises par le conseiller, le juge, ou le directeur après 1 an de mise en application
- le fait qu’un conseiller/directeur puisse transmettre des infos sur la famille dans l’intérêt de l’enfant au Tribunal de la famille sans accord des intéressés (famille et jeune)
- l’accès et la copie des dossiers par les services mandatés par les SPJ et SAJ, et la transmission des documents à ces autres intervenants. Ce troisième changement est d’ailleurs déjà acté. Cependant, il nous inquiète fortement.
Le Décret Code de l’Aide à la Jeunesse de 2019 donne une place aux familles et aux jeunes, et ces changements la bafouent simplement en ignorant l’accord des familles dans les transmissions des dossiers. Nos inquiétudes concernent aussi la vision biaisée des familles, basée sur les dossiers qui ne reprennent souvent que le négatif, et non les dynamiques d’efforts.
Comment ne pas s’interroger sur la confidentialité, le secret professionnel et le respect de la vie privée ? Comment imaginer que la confiance puisse être maintenue ?
Quant au renouvellement annuel des décisions, c’est un droit, qui permet aux familles et aux jeunes d’exprimer leur point de vue. Sans ce temps d’évaluation avec chaque partie, on fige les situations et on laisse de côté le maintien du lien parents-enfants dans la séparation.
Ces changements sont en contradiction avec la philosophie du Décret et avec la Déclaration des Droits de l’Enfant car ils ne vont pas dans l’intérêt de l’enfant !
Y a-t-il d’autres chats dans le sac ? Nous demandons une présence régulière du Cabinet ministériel compétant dans ces matières au groupe Agora. Nous demandons des consultations approfondies avec les familles.
Nous vous invitons à regarder « vos écrits nous regardent », collaboration ATD-LST
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